Faut-il porter un soutien-gorge ou pas?


Octobre rose.


Alors que le mois d'Octobre est dédié à la lutte contre le cancer du sein, un débat passionné suscite quelques interrogations.

Certains disent, d'après sondages, que porter un soutien-gorge favoriserait à long terme l'apparition de la maladie, d'autres, selon études, affirment qu'il n'en serait rien. (Voir références en fin d'article.)

Cela dit, mal choisir son soutien-gorge pourrait être la cause de nombreux maux!
J'en ai fait les frais. Je vous raconte.

Pourquoi porte-t-on un soutien-gorge?

1. Pour la forme qu'il confère aux seins ?
2. Pour plaire à son homme?
3. Pour se sentir belle?
4. Pour la santé des mamelons?

Petits souvenirs d'une jeune femme enceinte



Comment parler de maternité sans évoquer ces moments précieux de mère que l'on garde dans des archives... pas toujours secrètes ?! 
Certaines tricotent, d'autres font du shopping, moi j'écrivais des comptines en attendant la venue de ma fille!
Que le temps file! Aujourd'hui, elle a 4 ans ma petite puce et plein d'autres chansons dans la tête qu'elle fredonne au gré de ses humeurs.
Les plus beaux souvenirs?
1. L'échographie! Indéniablement.
J'ai eu la chance d'en avoir plus que "la normale" parce qu'au début, on n'était pas sûre que le petit embryon était prêt pour le voyage, s'il allait bien vouloir entamer sa course à la vie avec son kit de survie et tous ces aléas... Oui, on se demandait si ce petit bout de moi naissant était suffisamment bien accroché pour vivre! 

Je me souviens des tâches de sang annonciatrices d'une "fausse-couche", je me souviens des mots rassurants de ma mère qui disait: "ne t'inquiète pas, elle est robuste! Elle va tenir..."

Les 10 grandes erreurs d'une blogeuse débutante

C'est souvent grâce aux premiers pas que l'on expérimente le mieux les choses... 
Et lorsqu'on se retrouve confronté aux évidences les plus basiques, notre petite tête pleine de bonne volonté s'incline,  avec toute la candeur propre aux novices.

En tant que blogueuse à mes débuts, j'ai pu observer quelques erreurs dans mon expérience personnelle, et en rencontrer quelques unes sur d'autres blogs.

La liste est longue mais voilà quelques points.

Quand on se lance dans la création d'un blog, pour éviter d'être vite lassée ou découragée, il vaut mieux ne pas:

Monsieur X , un ministre , la COP21 et moi!

Mes histoires commencent souvent par un téléphone qui sonne.

Cette fois, il a sonné pour une aventure saugrenue:

monter la pièce de théâtre d'un ministre en moins de 15 jours pour une manifestation publique en marge de la Cop21!

Je l'ai fait.

Moi et une troupe de saltimbanques déjantés qui ont le plaisir immense d'être des amis. Enfin, je crois!

Nous avons joué à l'Hotel de l'Industrie à Saint-Germain des Près invités par le LAB (Land of African Buisness) puis au Pavillon Afrique, dans l'antre du Bourget.

Une expérience intéressante avec des plus et des moins.

Etre invitée à la COP21



Un mélange de sentiments étranges. 

C'est comme présenter une pièce de théâtre classique en plein milieu d'un marché de fruits et légumes à des clients pressés en plein dilemme: 

"5 € le kilos? Vous avez des patates? Oooh une troupe de théâtre!" 

 Imaginez...

Déclamer des poèmes dans le hall d'entrée d'une foire internationale avec autour de vous, des touristes multilingues qui vous font de grands sourires sans comprendre un seul mot de ce que vous dites!

Dur dur et drôle à la fois.

Envies pressantes


 Chers lecteurs,


Pour celles qui ne savent pas faire pipi par-terre... (bah quand il n'y a pas de toilettes, on fait bien comme les hommes! Sauf qu'on est obligé de s'accroupir!!!) alors, pour celles qui comme moi ne savent pas faire pipi accroupie sans s'en mettre sur les pieds, vous allez être ravies! Ça marche aussi pour les petites fillesEt pour les hommes qui pissent un peu partout, vous pourrez garder vos odeurs pour vous! (Sourire.) Vos petits garçons vont trouver ça plutôt marrant, mais, de quoi parle-t-on?


Premiers pas en maternelle!



ça y est, votre enfant est entré en maternelle et vous êtes ... un peu stressés? 

Moi, j'ai trouvé un petit bijou qui permet d'appréhender ou de revivre chaque rentrée avec douceur!

Pour la rentrée de ma fille de 4 ans en deuxième classe de maternelle (moyenne section) j’ai opté pour deux livres qui lui donnent autant envie d’aller à l’école que lors de sa première rentrée l'an dernier:

Juliette à la maternelle & Juliette va à l’école
Auteur :  Doris Lauer
Aux éditions Lito

Juliette est une petite fille qui vit des histoires similaires à certaines aventures que nous avons vécu, nous parents, lorsque nous étions enfants et comparables à ce que vivent aujourd’hui nos petits loulou d’amour. Il y a plusieurs épisodes sur des thèmes précis de la vie quotidienne: Juliette prend le train, Juliette est malade, Juliette fait des bêtises, etc… Avec Juliette petits et grands découvrent ou revisitent certaines étapes de la vie : des histoires assez brèves, raconté avec beaucoup de simplicité.

Ma première oeuvre publiée aux éditions La Doxa


Ça y est! J'entre dans la grande catégorie des gens de Lettres avec ma première nouvelle: La rumeur publiée dans un collectif d'auteurs! Oui, il a bien fallu ça pour me lancer et souffrir de laisser s'envoler enfin un de ces manuscrits que je garde jalousement dans mes tiroirs en attendant inlassablement le bon moment. Mais en dépit du bon moment, il n'y a que le temps qui passe et le vide... le vide!
Alors, des fois le destin prend le relais et nous ouvre plus grand quelques portes entre-ouvertes. 

Un livre collectif donc, il paraît que c'est à la mode: un sujet, plusieurs plumes, des imaginations fertiles... et la naissance d'une oeuvre: Franklin, l'insoumis.

2016. A retenir donc dans mes mémoires de jeune fille: 2016, année de ma première publication littéraire. Enfin!


Pourquoi je blogue?

Et bien...


Je dirais...
Partager! C'est le mot d'ordre quand on tient un blog! Personne ne vous dira jamais "je suis nombriliste et je veux vous montrer le monde à travers le joli prisme de mes yeux qui compte à lui seul les plus belles couleurs du monde!" 
Et pourtant... 

Quelque soit le domaine de prédilection, un blogeur pense d'abord à lui: assouvir une pulsion primaire qui le dérange ou le fascine! J'ai nommé, la passion! Dire tout haut ce qui démange plus bas! L'exprimer à la face du monde sinon c'est l'asphyxie totale de ce qui aurait pu se dire ou se montrer et qui se meurt dans l'anonymat le plus cruel! Imaginez donc le visage d'un ange sublimant une magnifique toile de Michel Angelo, meurtri, perdu, seul, au fond d'une cave...étrangère? Oui, étrangère en plus! Vous diriez, pour les amateurs d'art, "pauvre cave! Bah oui, pauvre cave, si tu savais le trésor que renferment tes murs, tu serais certainement revêtu d'un peu plus d'éclat! Quel dommage"! "Oh, grand peintre, ton oeuvre abandonnée ferait vendre... vendre une fois de plus! Vendre ton nom! Mais hélas, aucun oeil jamais ne la magnifie alors que tu dors au fond de l'ombre"!

Le blog donc, ce microcosme vital que l'on rédige scrupuleusement - presque comme un journal intime - et que vous prenez certainement plaisir à lire sans rougir car l'étendard du net gomme la part d'intimité, le blog, dis-je, est destiné à franchir toutes frontières personnelles pour conquérir le monde! El Mundo! Le grand Mundo!!! D'abord le nôtre. Intérieur. Extérieur. Puis surtout, celui des autres!
Les autres. The others. Los otros. Bango.
Vous.

Alors oui. J'écris pour magnifier ma plume!
"Cogito Ergo Sum" a dit le philosophe!
"Cogito Ergo Sum" donc, avec, pour concrétisation certaine, la plume qu'il faut pour prolonger la vitalité des mots qui s'amusent dans ma tête! M'amuser avec les lettres puis amuser les autres.
Les Autres.

L'objectif est net. Et précis. 

Alors pourquoi je blogue?
Et bien, puisque le blog est cette large vitrine qui expose mon moi profond, réceptacle ambulant de mes pensées soudaines... pour reprendre Descartes à outrance, lui qui a prit grand soin de penser pour tous... je dirais... je blogue "donc je suis"! 
Tout simplement.
Oui.
Tout simplement.



Meurtre au 7ème ciel


Il y a deux jours, de nombreux couples à travers le monde fêtaient la fameuse "Saint-Valentin". 
Aaah, la  fête dite "des amoureux"!

Quoi de plus naturel que de vous parler d'amour pour mon info d'aujourd'hui! 
J'ai choisi de vous offrir une histoire d'amour un peu surprenante, une tragédie à la Roméo et Juliette (un peu moins romantique sur les bords: lui meurt, elle s'enfuit.) ça fait les gros titre de la presse. Certains en rient, d'autres crient à l'infamie diffamatoire... Tenez-vous prêts... 
Je vous raconte!

C'est l'histoire d'un président qui meurt dans les bras de sa maîtresse. 
Dans les bras, ai-je dis? 
Ce n'est pas tout à fait juste: selon la légende, le 16 février 1899, il est mort d'une fellation. 
Mais qui?
Le président de la troisième république française, pardi!
Oui, vous avez bien lu: Felix Faure, 58 ans, est mort sur le divan.
Sa maîtresse, jeune femme de 26 ans, était plutôt jolie, à en croire le nombre de ses amants. 


De son fauteuil présidentiel, un jour, il l'appelle. Selon les dires. 
Il a besoin d'une petite relaxation.
Aaaah, ces présidents!

La légende dit que pour se redonner un peu de vigueur, il prît un petit remontant. Petite pillule de circonstance...
Cela a-t-il joué en sa défaveur? 
En tout cas, pour la rumeur, la chose est certaine:
le président a succombé au massage buccale d'une demi-mondaine.

Le roi Rapontchombo

Embarquons-nous à bord d'un beau voilier ou sur un radeau de fortune et laissons-nous porter par les eaux jusqu'aux rives du roi Rapontchombo

Venez, enfonçons-nous dans les profondeurs de l'histoire et remontons le temps. 
Nous sommes en 1839.
Il fait chaud. 
Sous le soleil d'Afrique centrale, un pays de plus va léguer son sort "à nos ancêtres les Gaulois": il s'agit du Gabon.

Nous sommes le 9 février. Sur les côtes du royaume MpongwèDowè Rapontchombo, le plus puissant des rois locaux, s'apprête à signer un pacte avec un homme venu d'ailleurs, de cet autre côté du rivage, là où les hommes ont une autre couleur, par-delà l'océan Atlantique, là d'où viennent et repartent des navires avec à leur bord, des visages qu'on ne reverra jamais. Cet homme, Louis Edouard Bouët-Willaumez est à la fois: comte, officier de marine, explorateur et amiral français. Il fait la chasse aux bateaux négriers en escale sur les plages africaines. 

Nombre de Visiteurs sur le mois