Meurtre au 7ème ciel


Il y a deux jours, de nombreux couples à travers le monde fêtaient la fameuse "Saint-Valentin". 
Aaah, la  fête dite "des amoureux"!

Quoi de plus naturel que de vous parler d'amour pour mon info d'aujourd'hui! 
J'ai choisi de vous offrir une histoire d'amour un peu surprenante, une tragédie à la Roméo et Juliette (un peu moins romantique sur les bords: lui meurt, elle s'enfuit.) ça fait les gros titre de la presse. Certains en rient, d'autres crient à l'infamie diffamatoire... Tenez-vous prêts... 
Je vous raconte!

C'est l'histoire d'un président qui meurt dans les bras de sa maîtresse. 
Dans les bras, ai-je dis? 
Ce n'est pas tout à fait juste: selon la légende, le 16 février 1899, il est mort d'une fellation. 
Mais qui?
Le président de la troisième république française, pardi!
Oui, vous avez bien lu: Felix Faure, 58 ans, est mort sur le divan.
Sa maîtresse, jeune femme de 26 ans, était plutôt jolie, à en croire le nombre de ses amants. 


De son fauteuil présidentiel, un jour, il l'appelle. Selon les dires. 
Il a besoin d'une petite relaxation.
Aaaah, ces présidents!

La légende dit que pour se redonner un peu de vigueur, il prît un petit remontant. Petite pillule de circonstance...
Cela a-t-il joué en sa défaveur? 
En tout cas, pour la rumeur, la chose est certaine:
le président a succombé au massage buccale d'une demi-mondaine.

Le roi Rapontchombo

Embarquons-nous à bord d'un beau voilier ou sur un radeau de fortune et laissons-nous porter par les eaux jusqu'aux rives du roi Rapontchombo

Venez, enfonçons-nous dans les profondeurs de l'histoire et remontons le temps. 
Nous sommes en 1839.
Il fait chaud. 
Sous le soleil d'Afrique centrale, un pays de plus va léguer son sort "à nos ancêtres les Gaulois": il s'agit du Gabon.

Nous sommes le 9 février. Sur les côtes du royaume MpongwèDowè Rapontchombo, le plus puissant des rois locaux, s'apprête à signer un pacte avec un homme venu d'ailleurs, de cet autre côté du rivage, là où les hommes ont une autre couleur, par-delà l'océan Atlantique, là d'où viennent et repartent des navires avec à leur bord, des visages qu'on ne reverra jamais. Cet homme, Louis Edouard Bouët-Willaumez est à la fois: comte, officier de marine, explorateur et amiral français. Il fait la chasse aux bateaux négriers en escale sur les plages africaines. 

Le plus bel art


  Aujourd'hui, je vous présente un artiste incroyablement surprenant:
  Bruno Catalano 

Je suis littéralement
 tombée   amoureuse 
de son travail, le temps d'un week-end romantique en Normandie

Mais avant de vous en dire plus, je vous raconte mon amour pour l'ART!

Influencée par ma soeur aînée,.incroyable dessinatrice, férue d'art et de culture, c'est en classe de Terminal que j'ai pu mettre mon âme d'artiste à l'épreuve. Il me fallait deux options à présenter au Bac; mes.choix se sont portés sur les cours d'Anglais Renforcé et l'Histoire de l'Art.

Je ne connaissais pas grand chose à l'art plastique mais vous savez ce qu'on dit sur les petits poissons dans l'eau... ils nagent aussi bien que les gros! J'étais dans mon élément. Totalement en phase avec mon imagination, parfaitement à l'aise avec la création... Il n'est de pure bonheur que ces instants où l'on façonne nos idées. Notons que mes petites oeuvre à moi m'ont tout de même rapporté un 20/20 au Bac et pour une novice, ça, c'est juste top!

New-York ou les Indiens Manhattes


Nous sommes le 2 février 2015.
Allons faire un tour du côté de New-York.

Selon les puissances qui ont assouvi sur elle leur souveraineté, celle que l'on nomme aujourd'hui la "Big Apple" en raison de son grand attrait "cosmopolite" n'a pas toujours eu le nom qu'elle porte. New-York.

Longue histoire, ô combien intéressante, que je vais tâcher de vous résumer (avec des liens toujours au bas de l'article pour aller plus loin).

Allons y.



2 février 1653.
Il y a exactement 362 ans jour pour jour, le monde assistait à la naissance de la municipalité de New-York. 
Cette appellation lui a été donné en l'honneur du duc d'York, Jacques II, roi d'Angleterre. 

Être ou ne plus être

Aujourd’hui je vous présente 4.48 Psychose, les derniers écrits de Sarah Kane, dramaturge anglaise controversée qui a succombé aux sombres aspérités de son existence. 
Œuvre posthume qui livre l’incapacité de l’auteure à vivre en adéquation avec le monde qui l’entoure et qui annonce au lecteur qu’à 4h48 elle mettra fin à ses jours.

Il y a d’abord ce titre évocateur et ce mot énigmatique : psychose.
Arrêtons-nous sur le titre, juste quelques instants.
Une Psychose, qu’est-ce que c’est ?

Selon le Larousse :
  • Altération globale de la personnalité bouleversant les rapports du sujet avec la réalité.
  • Obsession collective provoquée par un traumatisme d'origine sociale ou politique : Psychose de la guerre.

Alors, oui, vous me direz : « Psychose ? Cela ne colle pas vraiment avec le thème du renouveau, de l’épanouissement, du nouveau départ, de ce mois de janvier tout neuf qui aspire à la vie, comme je le chantais (ici) dans mon tout premier billet d’humeur... »    
Où est donc passé ce beau début d’année aux couleurs de renaissance et la joie des nouveaux jours propice aux nouveaux pas ?

L'Australie, on en parle ?

C'est aujourd'hui jour de fête en Australie.


  
Alors que dans le reste du monde la fête nationale correspond au jour de la libération de la Nation, de la victoire des autochtones sur l'ennemi, de "l' indépendance" du peuple face au colonisateur, eh bien, en Australie, on célèbre l'anniversaire de la "First Fleet" (qui veut littéralement dire première flotte): la fête nationale est la commémoration de l'arrivée des premiers colons européens sur les rives australiennes. 

Ce.jour,.communément.appelé:"Australia.Day,.Anniversary.Day,.Foundation.Day.ou encore, désignation moins honorable,"Invasion.Day", on l'aura compris, est le jour où l'on chante en coeur l'hymne nationale australienne. Mais tout le monde ne chante pas: cette célébration est contestée par les premiers indigènes (indigènes au sens premier du terme, bien-évidemment) qui réclament une autre date depuis l'institution de ce fameux jour de joie pour les uns et de malheur pour les autres.

La First Fleet? 
C'était le 26 janvier 1788.

L'impératrice des Indes

Il s’en est passé des choses, le 19 janvier, au cours de l’histoire. D'abjectes tragédies noyées dans les vicissitudes d’une histoire Humaine, toujours écrite à l’encre rouge.


Je pourrais vous parler, sans chronologie aucune, de ce 19 janvier où une ville entière a succombé, les pieds devant, à la tyrannie d’un roi. Nous sommes en 1419, cette ville s’appelle Rouen et ce roi, Henri V d'Angleterre. Des morts dans les caniveaux. Des femmes, des enfants, des vieillards offerts en pâture à la disette, oui, jetés à la mort, pour la gloire d’un seul homme. Le roi. (1)

Je pourrais vous parler du « Condominium anglo-égyptien », cet accord arbitraire qui offre la souveraineté du Soudan à un gouverneur général nommé par l’Egypte et approuvé par la Grande Bretagne.

Les friperies

Chiner ou pas?

Je ne connaissais pas le concept "friperie" avant de rencontrer Nadia, une amie de la Fac de Tours, toujours bien habillée avec LE petit accessoire qui faisait LA différence, LE petit débardeur qu'on a ENVIE d'avoir, la petite robe noire à petits pois blanc qui manque à notre armoire... bref, le look tendance: simple, classe et ultra branché. Nadia faisait SA mode et la faisait bien.


Et quand on lui posait la question fatidique: tu l'as eu où ta petite marinière (hyper sexy), et ton manteau vintage (troooop top!) et tes boucles d'oreille gitanes ou créoles savoyardes... Dieu que cette fille avait de l'allure avec pas grand chose! 

La jolie provinciale venait "chiner" dans les rues de la capitale et trouvait son bonheur dans les friperies parisiennes. Oh my God, les friperies, c'est pour les nécessiteux, pensais-je! Pourtant Nadia ne l'était pas. Je trouvais cela indécent, moi, fille de diplomate, d'aller fouiller dans des paniers que je pensais faits pour les plus démunis. Oui, l'idée que j'avais de ces endroits là, n'était pas des plus nobles. Et pourtant...


 J'ai testé. 
 Je vous raconte.

Commençons par le début. Une friperie, qu'est ce que c'est?



Sous les décombres d'Haïti

Nous sommes le 12 janvier 2015.



Il y a 5 ans, jour pour jour, mon téléphone sonne. Ma mère en larme. « J’ai perdu des collègues dont deux m’étaient si proches… »
L’un d’entre eux s’appelait Emmanuel Réjouis, il était franco-haïtien et son histoire m’a particulièrement bouleversé car il a perdu la vie en sauvant celle de sa fille de 2 ans. Les secours l’ont retrouvé en boule, recroquevillé sur sa fille comme pour faire barrage quand le toit s’est effondré. Il n’a malheureusement pas pu sauver ses deux autres enfants (Koffi & Zanzie de 4 et 6 ans retrouvés morts eux-aussi sous les décombres.) La petite en est sortie indemne (un pied brisé mais en vie dans les bras de son père qui ne l’était plus). La maman qui rentrait du boulot était encore sur la route

A Propos

Bloguera, bloguera pas...

Mes premiers pas dans la Blogosphère



Janvier 2015. Nouvelle année, nouveau départ. Nouvelles règles, nouveaux projets. C’est tout ce que m’inspire ce début d’année. Une nouvelle vie.


Il souffle le vent du renouveau et mène les plus ambitieux vers de nouveaux défis. Pour ma part, le désir de créer un blog me talonne depuis quelques années. Pourquoi ? Et bien, quand on a, plein la tête,  des idées à revendre, des envies folles qui tournent en boucle, votre âme aventurière vous pousse à essayer un certains nombres de choses : du produit beauté fait-maison à l’article de mode incontournable… on obtient forcément une palette de résultats mitigés qu’on se doit de partager avec le monde ! Imagination, aspirations, créativité: autant de choses qui guident ma vie de jeune maman en herbe et ma vie de femme toujours en quête du « truc qui fait du bien ».



Qui suis-je ? 


La Maternité

Renaissance, naissance... Maternité.


Si les poètes parlent du printemps comme du temps de la renaissance (car c’est en effet la saison où dans certaines parties du monde et plus particulièrement en Europe, la nature se renouvelle, les premiers bourgeons apparaissent, fleurissent et colorent le paysage) il n’est pas moins poétique d’épingler le mois de janvier à l’étendard du renouveau. 


Ce premier mois de l’année est aussi renaissance parce qu’il annonce une ère nouvelle : un nouveau chapitre de l’Histoire. 

Et ce qui me vient à l’esprit (là, maintenant, tout de suite) c’est la question de la maternité car c’est un peu comme une seconde naissance pour les nouveaux parents comme pour l’artiste, le temps  un chef d’œuvre. Le temps pour moi de me replonger dans des souvenirs pas si lointains que ça

Les brûlures d'estomac

Aïe mon estomac!

Quel est le point commun entre:

- une femme enceinte, 

- des repas de fête (souvent trop riches en protéines animales, trop épicés ou bien trop gras) 

- une consommation excessive d'alcool ou de tabac

- des nuits d'insomnie et j'en passe... 


Réponse: les brûlures d'estomac bien-sûre! 


Après tous ces mets copieux de fin d'année, une question demeure, essentielle: comment se débarrasser de ces douleurs? 


Si, comme moi, vous êtes sujet(e)s aux aigreurs d'estomac, cette chronique peut vous intéresser. 


J’ai, avant la naissance de ma petite princesse, mis la main sur un certains nombres d’ouvrages devenus très vite indispensables ! (Et dont je parlerais dans mes prochaines chroniques.)


La voix du succès

Dans ma bibliothèque




Je me suis offert pour cette nouvelle année un livre:

"Vous Pouvez Être Ce Que Vous Voulez Être." 

Le best-seller de Paul Arden (1940-2008). 

Une trouvaille dénichée sur l’une des étagères bien fournies du magasin Nature & Découverte. 


Je ne connaissais pas cet auteur, publiciste renommé de Londres qui nous livre dans cet ouvrage son incroyable ascension dans le monde de la publicité. 


Il s’attache à montrer comment malgré des échecs inévitables, l’audace peut façonner notre réussite à la hauteur de nos ambitions.



Ce qui m’a attiré vers ce livre c'est vraisemblablement son titre accrocheur.
Et juste en dessous du titre, une phrase aguicheuse : "le livre le plus vendu au monde de Paul Arden".

Et là une question vous vient aux lèvres : mais Who the hell is that Paul Arden I don’t know ? Traduction : Mais QUI donc est ce Paul Arden (que je ne connais pas ?!!) Argh !!! Je dois connaitre ! I Need to Know !!!

Et ça ne s’arrête pas là ! Hélas ! Un quatrième de couverture à vous donner envie de l’acquérir pour la modique somme de 8 euros 95. 


Ma trousse à maquillage

Artifices

Miroir mon beau miroir, que fais-tu dans le noir?

C'est ce qu'on aimerait lui susurrer tous les matins à notre habitué de la grise-mine!Dans ma chronique sur la maternité, je vous parlais de bouleversements... en voilà un autre: l'arrivée de ma fille m'a d'un coup d'un seul désolidarisé « du club des filles qui se maquillent ». Pourquoi? Mystère et boule de gomme! Moi, adepte jusqu'à la moelle de tout artifice sublimateur qui vous font dire à votre miroir: "allé, va, sors de là! Contemple-moi, comme je suis belle!" La vérité - je vous la dois - peur que le moindre composant ne passe par le cordon ombilical (oui, je sais... je sais...) et n'altère la santé de ma pitchoune. (Bon, j'ai quelque fois transgressé la règle mais sans conséquence aucune.)

Mistinguett-Tinguette et ses gambettes!



Le 5 janvier
Plusieurs événements historiques se sont produits à cette date.

Deux faits retiennent cependant mon attention pour une première chronique: la mort de deux femmes, deux figures emblématiques: la régente Noire et la Reine du Music Hall. L'une a marqué l'Histoire et l'autre la Culture à trois siècles d'intervalle. J'ai nommées: Catherine de Médicis et Mistinguette. 

Mais comme il me faut faire un choix, c'est naturellement vers la seconde que je me tourne car pour la première, je vous donne rendez-vous un 24 août prochain.


Place donc à l'artiste!

Janvier et ses secrets

Le mois de janvier pas toujours 1er

" La curiosité est un vilain défaut" dit la sagesse populaire ! Mais sans curiosité, point de découverte ! Comment aurions-nous appris ce que nous savons sur la loi de la gravitation si le physicien et astronome anglais Sir Isaac Newton n’avait pas été curieux en 1684 ? 
Comment aurions-nous su que la terre était ronde si Galilée n’avait pas été curieux ? 
Le savoir se révèle dans la plus petite interrogation qui suscite l’intérêt. Indispensable donc à toute évolution, il conviendrait mieux de dire : « la curiosité mal-placée est un bien vilain défaut ! » Après ce maigre étalage de ce qu’il reste de mes lointains cours de Science, j’avoue qu'élève, le seul moment où mon esprit s’adonnait au ‘plaisir scolaire de la curiosité’, c’était l'instant où l’on abordait l’origine des choses ! De la naissance à la chute vitale du papillon, le cycle de la vie suscite en moi bien plus d’émotions que les films à l’eau de rose. Et, bien que je continue de penser que l’histoire de la création du monde

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